• Certes, à son époque, les antibiotiques n'existaient pas.
  • Certes, la médecine de son temps (en tout cas dans le Middlewest américain) était non seulement impuissante, mais particulièrement destructrice. Soit.
  • Mais de là à considérer la maladie infectieuse comme une conte-indication à un soin ostéopathique, c'est tout de même curieux.

Considérons donc cette contre indication comme relative.

  • Pourquoi relative ? Parce que pour nombre de maladies courantes, la médecine d'aujourd'hui offre des solutions plus performantes et plus rapides que les soins ostéopathiques.
  • Il est donc logique de lui donner la préférence.
  • Mais il est des maladies pour lesquelles la médecine actuelle n'offre pas de réponses vraiment satisfaisantes, et notamment les maladies d'origine virale.
  • En tout cas, elle ne résout pas tout et en particulier ne s'occupe pas du fonctionnement global du corps comme le ferait un ostéopathe (ou comme il serait sensé le faire).
  • L'ostéopathie apparaît donc bien au moins comme une approche complémentaire pour aider les patients atteints de maladies infectieuses, pendant et surtout après leur maladie qui le plus souvent laisse des traces que la médecine classique ignore purement et simplement.

Et que dire, en cas de pandémie grippale ?

  • Si la pandémie survenait réellement, la médecine serait certainement très débordée.
  • Alors les traitements ostéopathiques seraient des compléments fort bienvenus, pour aider les patients à se guérir et/ou à éviter les complications.
  • Ne parlons pas des suites de la grippe. Les séquelles sont bien inscrites dans le système corporel. Et là, c'est vraiment l'ostéopathe qui dispose des outils les plus performants pour aider à recouvrer une véritable santé.

Remplacer le médecin ?

Certes non !
Je suis bien trop heureux dans ma vie d'ostéopathe.
Mais collaborer en apportant chacun nos compétences, cela me semble possible.
De toute manière, on peut rêver non ?